Par Aïcha El Hammar Castano
Est-ce l’angoisse de l’accomplissement ou bien une simple coïncidence?
Sébastien Merat n’est pas encore prêt à me répondre. Essayant de le contacter sans relâche pour parler de sa peinture si singulière et de son exposition qui débutera le 20/01 à la Nadine-Gallery, c’est sa charmante attachée de presse Zoé Cevange qui m’a répondu.
Elle ne savait tout bonnement pas où était passé son peintre.Quelques jours avant le vernissage, il a disparu, retombant dans un problème « éthylique ».
Sébastien Merat n’est pas encore prêt à me répondre. Essayant de le contacter sans relâche pour parler de sa peinture si singulière et de son exposition qui débutera le 20/01 à la Nadine-Gallery, c’est sa charmante attachée de presse Zoé Cevange qui m’a répondu. Elle ne savait tout bonnement pas où était passé son peintre.Quelques jours avant le vernissage, il a disparu, retombant dans un problème « éthylique ».
Il est allé jusqu’à se casser le bras avec lequel il peint.
« C’est Nadine Berrebi, qui a insisté pour m’exposer. Moi j’aurais encore attendu un petit peu. Je suis très timide, j’avais besoin qu’on me tende la main ».